By definition, the Def Jam 30th-anniversary concert that took place at the Barclays Center was an incomplete tribute, and something of a disheveled one, too. There are many Def Jams. No show — even a five-hour one that went past 1 a.m. — could capture them all.
Jon Caramanica a raison : impossible de capturer l’histoire de Def Jam en un concert de cinq heures, tant le label a traversé l’histoire d’un genre par nature perpétuellement mouvant.
Mi-célébration de l’époque la plus faste du label en termes de chiffres (la fin des années 90), mi-promotion de son catalogue actuel, le concert a laissé une impression mitigée au vétéran du journalisme rap outre-Atlantique, telle qu’il la raconte pour le New York Times, photos à l’appui.
Le clou du spectacle ? Pas Rick Ross, ses bangers imparables et ses lancers de billets, d’après Jon. Mais le toujours turbulent DMX, « férocement charismatique », « émouvant, sombre et finalement rempli d’espoir, terminant sur une prière fervente ».