IAM et le chiffre 7

IAM aime les chiffres et les symboles. Le sept, c’est « le nombre divin, la somme parfaite, » rappelez-vous. Le sept, c’est aussi le numéro de ce bon vieux Cantona et de son éternel col relevé. Enfin, sept comme le septième album d’IAM, sorti… sept mois après Arts Martiens. Le nouveau-né condense la prolongation, les temps morts et les arrêts de jeu d’Arts Martiens dans un seize titres qui ressemble fort à un coup de sifflet final. Ceci dit, on imagine mal l’équipée marseillaise prendre sa retraite et le maquis comme ça. Au-delà de la proximité entre ces deux faux jumeaux, on ne peut s’empêcher d’écouter …IAM en repensant aux albums passés. Et de rappeler que « que tout ce qu’il y a dans ce monde est 7. »

Confortablement installé dans le bureau de Benjamin Chulvanij – en repensant aux théories de Thibault de Longeville et en se demandant ce qu’on ferait si on avait le cul posé sur ce grand siège – on est revenu sur une partie de la discographie d’IAM. En commençant par le début mais sans être certain d’avoir vraiment vu la fin.